C'est la vie pas le paradis.

« ….
Le début d’une vie
…. »

Les Lumières de l'ambulance dansaient, à l'intérieur des cris, des pleurs, une vie de perdit pour en donner une nouvelle, à l'extérieur plus loin dans une belle voiture noire un homme, un homme inquiet de ce que le monde va lui offrir, comment élever son fils dans le monde qu’ils sont.
Lui réalisateur et sa femme chanteuses, ils ne savaient sans doute pas que le monde du show bizness était si compliquée comment garder la tête froide face à temps de personne qui vous vole votre intimité? Eux parfois ou plutôt lui aime ce monde ou il le haïs tellement qu’il voulait s’enfuir loin de ce monde. Mais au fond il a pris gout de cette vie si belle et rose d’après sa femme, elle lui dit toujours qu’il a de la chance de vivre dans une belle maisons et non sous un pont parfois, il voudrait bien y vivre sous son pont au moins ils y aura personne pour le déranger, tout le monde lui foutrait las paix.
Alors pourquoi avoir prévenu la presse du jour de l’accouchement? C’était encore une idée de sa femme car lui n’aurait jamais été à la place de son fils qui allait naitre. Oui, il regrettait de l’avoir fais et surtout avec une femme adorant aussi de ce monde de fou, ou bonheur et richesse est faite sur votre dos et où crie d’historié et malaise vous réclame sur la scène ou derrière des barrières près à vous déchirez votre propre chemise.
Elle a toujours aimé ça lui beaucoup moins, ça l’effraie de voir l’humain ainsi mais il l’aime, il l’aime tellement qu’il s’est marié avec elle et lui a fait un enfant, il lui a dit que cela n’allait pas nuire à sa carrière sans pour autant en être sure. C’est bien que Andreas soit né dans un amour passionnel mais pas dans le monde que ses parents allient lui offrir car au fond tous les deux avait pris gout à cette vie, tout le monde y prend gout.
Oui Monsieur McBarry comme Barry le boucher au fond de lui a toujours voulue une vie où il se sent aimé et admirer et Mme McBarry elle a toujours aimé et se ventent de voir des gens la réclamer en plus qu’elle soit belle, elle a une magnifique voie.
La naissance de leurs fils ne devait pas changé le cours de leur vie alors, ils allait continués a vivre comment ils le faisaient lui apprendre ce qu’ils veulent et lui dicter sa vie.
Le petit Andreas ouvrit les yeux le 25 Décembre 1988; c’était le début de sa vie dont il ne seras jamais l’auteur de ses quelques lignes qui résumerons son enfance.

« ….
Il n’est pas
L’auteur de sa propre vie
…. »

Andreas n’a jamais pu faire ce qu’il voulait le moindre de ses gestes étaient écrits à l’encre indélébile sur son front, ses parents étaient là, toujours derrière lui, a dire ce qu’il devait faire et pas faire, ils devaient avoir cette image de parents parfait et autoritaire. De ses petits yeux bleus Andreas n’a jamais compris ce qui lui arrivait, il était du genre obéissant pas encore révolté, une chance qu’il était calme et posé, il fallait que ses parents profite de cette phase calme et sans vague; car au final plus les années passaient et plus la mère paisible s’agitait de plus en plus malgré qu’il soit enfermé chez lui, pour les cours, pour tous ce qu’il devait pratiqué il ne voyait que le monde extérieur quand ses parents sortaient avec lui pour ce montrer devant les caméras, tous les moments qu’il croyait heureux n’était qu’une mise en scène. Alors pourquoi continuer sa passion qui n’est pas la sienne: La comédie, l’art de la scène. Dès petit il a été mis dans le bain pour dévoiler ce don magnifique qu’il avait celui de la comédie, il avait le don de joué, il se différenciait des autres, oui Andreas a toujours été un enfant différent. Il observait avant de frapper, sa seule sortie où il pouvait être en contact avec les autres enfants c’était lors qu’il jouait sur scène ou a de grande fêtes où les enfants des stars étaient et les parents de l’autre.
Il se souvient qu’il y a toujours eu un appareil photo devant lui, cette image qui persiste dans sa vie.
Suffisamment grand et intelligent il voulu changer les lignes de son ; il voulait a tout pris connaitre le monde extérieur autrement qu’il le voyait avec ses parents qui lui tenaient la mains, l’amenant au par cet faisant attention au moindre de ses geste. Il a attendu quatorze pour enfin être l’auteur des actes qu’il allait commettre, stupidité d‘enfant, marque de révolution dont il voulait être capable, il s’enfuit de chez lui après une répétions de théâtre il avait réussi a échapper un fragment de seconde à la personne qui devait le garder et pendant toute cette nuit, il appris un tas de chose que l’humain était profondément stupide; qu’il manquait terriblement de ce que lui connaissait tous les jours: l’argent, que derrière ce monde qu’il croyait beau était horriblement moche et terrifiant, que de drôle de personne lui tournait autour comme pour le piller et le voler, que ce liquide que quelqu’un venait de lui donner après être rentré dans un endroit intituler le Bar de Norbert, une ivre fou lui avait donné son verre, il savait qu’il avait dans le verre offert, il en bue l’homme au sourire trouées, car il lui manquait des dents, lui dit qu’il était un homme et bien intrépide pour un gamin. Et s’il l’était vraiment un qu’il devait boire encore un autre ainsi de suite jusqu’à ce que l’enfant ne sentent plus ces forces et s’écroule sur le sol. Lorsqu’il ouvrit les yeux c’était dans sa chambre, il avait un mal de tête horrible et son ventre complètement retourner, ce fut sa première gueule de bois.

A; - Maman j’ai mal à la tête.
M; - C’est normale chéri, dis toi que c’est ta première gueule de bois. Je suis honteuse que tu portes le même nom que nous; tu le sais. La honte que tu me fais là, mon fils a quatorze complètement ivre dans un petit bistro sans nom, tu aurais pu aller te soûler dans un bar de riche au moins.
A;- Désolé maman, puis il avait un nom.
M; -Tais toi veux.
A; - Non, je veux être l’auteur de ma vie?
M; -Tu devrais arrêter les livres et films trop compliqués.
A; - Trop compliqué pour toi cela voudrais dire aucun.

Le bruit de la gifle fut assourdissant, un « clac » terrible sortant du droit du cœur, sa mère s’en alla jetant le gang d’eau froide en pleine figure de son fils, quand elle croisa son conjoint.

M; Parle donc à ton fils, il m’exaspère.
P; Laisse le un instant, il fait sa crise.
M; On ne peut pas le laisser une minute regarde ce qu’il fait.
P; Pour une fois laisse le vivre sa vie, il verra quelle est dure, si tu continus il se promèneras dévêtue dans les rues.
M; Oh mon dieux.

Sa mère ne lui lâcha pas la bride même elle venait de la resserrer, Andreas lui voulait simplement montrer son mécontentement alors, il le faisait avec le peux de moyen qu’il avait, intelligent et malin, il faisait la moindre chose pour l’énerve en publique puis mature pour son âge, il alla voir une de ses ainées qui était dans la même répétition de théâtre de lui, longue jambes, bien formé elle ne devait pas être loin de ses dix-sept ans, plusieurs fois il avait vus son regard posé sur lui. D’un petit sourire il lui susurra quelques mots pour finir dans les toilettes ne faisant pas des choses très catholiques, ce n’est plus la peine de faire un dessin. Premières et non la dernière dans ce genre d’endroit qui allait changer avec la même bien sur, il en était amoureux peut-être mais voilà qu’il quitta le pays pour ses révoltes.
S’il n’avait pas ce don, ses parents l’auraient laissé au bords de la route, ou dans un camp de redressement mais ils pouvaient car au fond leurs fils n’était pas agressif ni méchant, il était blessant.
Où ils déménagèrent Andreas rejoint une très belle troupe qui allait lui donné ses ailes, troupes de jeunes pour enfin se transforme en un peu mois allant de Dix-huit ans a Vingt-cinq, il quitta cette dernière a vingt ans pour rejoindre celle où il est désormais, parfois il rencontre les feux des cameras, jouant dans de petit cour métrage indépendant et y gardant le don de la comédie que le monde lui a offert. Aimé par les fans de théâtre et il commence à monter peu à peu dans le monde du cinéma.
Où ce petit oiseau trop abusif des fêtes et de l’alcool volera-t-il? Sa dépendance pours les fêtes et le sexe le mèneras t’il à sa déchéance, ou une main sauveuse arrivera à le relever. Pourquoi est il si doué? Car c’est bien grâce à son don qu’il joue encore.

.

Aimez-vous Toronto ? Oui, pour l'instant c'ets bien un endroit sympathie je ne vois pas inconvénient de s'installer ici.
Auriez-vous aimer vivre ailleurs ? Oui, dans ma ville natale car en vérité je rêve d'y retourner
Pensez -vous avoir réussi votre vie ? Je ne sais c'est une très bonne question dont je n'aurais pas la réponse encore.
Êtes-vous amoureux ou amoureuse ? Non, c'est quelques chose que j'ai du mal a apercevoir. L'amour n'ets qu'une illusion après tout, il disparaît tout le temps.
Aimeriez vous avoir un super pouvoir ? Ouais ca serait sympa, amusant et puérile. Je ne voudrais pas un pouvoir qui puisse faire du mal au gens, juste arranger ma vie. Celui de maîtriser le temps, on a tous quelques chose à corriger et de voir son futur
Quel est la personne la plus importante pour vous ? Hummm beaucoup de mon de grands comédien et acteur de l'épique
Que pensez vous de l'agence scandale dealers ? Ce que je pense n'a pas beaucoup d'importance, je veux dire certes vous allez m'écouter ou faire semble, ca sert a quoi de parler d'un sujet profondément stupide? Je plaisante, ils nous aident beaucoup personnellement j'en ai pas encore eu le droit d'un mais ça ne vas pas tarder mais je 'nai pas une grande confiance en eux.. Je préfère être seul que de me confier a une personne.

Et derrière l'écran

[table border=0][tr][td]

[/td][td][list]
[size=10]PSEUDO: ben
AGE: 19 ans
COMMENT AVEZ-VOUS TROUVER LE FORUM ?: Pub par Johannie L. Robson
COMMENT LE TROUVEZ-VOUS ?: Bien jolie
STARS SUR L'AVATAR: George Barnnet (discuter avec Johannie )
CODE DU RÈGLEMENT: Toronto we love you

Dernière édition par Andreas G. McBarry le Dim 21 Fév - 3:19, édité 1 fois