Scandal Dealers
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Entre l'histoire et la vérité, il y a toujours un petit quelque chose...
 
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 Aux vrais amis tout est commun. ; Ana '

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Josh A. Atwood

Josh A. Atwood

Messages : 45
Date d'inscription : 05/03/2010

Aux vrais amis tout est commun. ; Ana ' Vide
MessageSujet: Aux vrais amis tout est commun. ; Ana '   Aux vrais amis tout est commun. ; Ana ' EmptySam 6 Mar - 23:18

__ Anastasia Ovechkin & Josh Atwood ______

Aux vrais amis tout est commun. ; Ana ' Musica10

    Josh était dans un petit restaurant de Charleston’s street. Un bistrot bien sympathique qu’il avait l’habitude de fréquenter. Une bonne ambiance, quelques habitués qu’il connaissait. Il était simplement aisé de passer un bon moment sans trop se casser la tête. Buvant son café encore fumant, Atwood regardait une jeune femme qui attendait son plat. Elle était seule, désespérément seule, enfin c’Est-ce qu’en avait déduis le jeune homme. De temps à autre, la demoiselle jetait un œil sur son portable, soupirait et le reposait. Comme si quelqu’un lui avait posé un lapin. Bizarrement, il s’en réjouissait.

    Il pensait l’aborder. Peu importe comment, Josh trouvait toujours une excuse, son sourire de tombeur faisait le reste. Ils commençaient une conversation plus ou moins passionnante. Il finissait par inviter la demoiselle au restaurant, et le soir il la ramenait chez elle. C’était souvent comme ça.

    Atwood remuait sa cuillère dans sa tasse depuis plus de deux minutes, ne cessant de fixer la jeune demoiselle. Quand soudain, son téléphone sonna. Josh glissa sa main dans sa poche et décrocha.

    « Oui ? Hum hum, sans aucun problème, je dois passer à la bibliothèque avant, donc disons, ce soir, vers 19h30 ? Ok. A tout à l’heure! »

    Quand notre jeune homme se retourna, la belle créature qu’il avait remarqué avait disparu. Attentivement, il parcourut du regard le restaurant, mais rien. Dans un soupir, il déposa les quelques pièces dans la coupelle pour régler l’addition, enfila son manteau et se rendit à la bibliothèque en prenant un taxi.

    Josh portait au bras, une espèce de petite sacoche. A l’intérieur, on pouvait retrouver des photographies de ses voyages. Des visages d’enfants, des hommes au travail, des femmes à demi nues. Mais de belles photos. Pas celle qu’on voit dans les magasines, non, des photos qui touchent, dans lesquelles on se retrouve, qu’on essai de comprendre et d’admirer. Et puis il arriva à la bibliothèque. Longtemps il chercha son livre. Un vieux livre de photographie qu’il allait emprunter. Mais avant, il s’assit sur un siège pour le feuilleter. Atwood était quelqu’un de talentueux, mais il était très modeste et humble. Son métier était une chose totalement à part. On ne lisait aucune prétention dans son regard quand il était avec ses modèles. Juste un homme qui désirait faire passer un message à travers ses photographies. Quelqu’un de simple. Mais une fois sortit du studio, il redevenait le démon, le fourbe, le tyran. C’était drôle, mais on s’y habituait!

    Et donc, Atwood feuilletait son livre avec attention et très sérieusement. Ca devait même être risible si on connaissait le jeune homme de réputation. Après avoir convenu que c’était bien l’ouvrage qu’il lui fallait, il leva les yeux et croisa le regard d’une jeune demoiselle qui semblait le fixer. Surprit, il leva un sourcil, ferma son bouquin et le glissa dans sa pochette.

    On ne lisait aucune prétention dans son regard quand il était avec ses modèles. Juste un homme qui désirait faire passer un message à travers ses photographies. Quelqu’un de simple. Mais une fois sortit du studio, il redevenait le démon, le fourbe, le tyran. C’était drôle, mais on s’y habituait!

    Et donc, Atwood feuilletait son livre avec attention et très sérieusement. Ca devait même être risible si on connaissait le jeune homme de réputation. Après avoir convenu que c’était bien l’ouvrage qu’il lui fallait, il leva les yeux et croisa le regard d’une jeune demoiselle qui semblait le fixer. Surprit, il leva un sourcil, ferma son bouquin et le glissa dans sa pochette.

    Il avait déjà vu son visage, elle était sublime, quelque chose dans son regard faisait fondre notre jeune homme. Il passa une main dans ses cheveux et finit par s’approcher et demander timidement.

    « Mais .. C’est toi, la jeune fille avec qui j’étais au bar l’autre fois ? »

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Anastasia K. Ovechkin

Anastasia K. Ovechkin

Messages : 158
Date d'inscription : 19/02/2010

█ Cher Torontois , découvert
« Quel groupe »: » SIMPLE PEOPLES
« Your relationship »:

Aux vrais amis tout est commun. ; Ana ' Vide
MessageSujet: Re: Aux vrais amis tout est commun. ; Ana '   Aux vrais amis tout est commun. ; Ana ' EmptyDim 7 Mar - 20:28

Aux vrais amis tout est commun. ; Ana ' Robert94Aux vrais amis tout est commun. ; Ana ' Nv4al1
Josh & Ana'
« I've learn to play on the safe side so I don't get hurt
I find it hard to trust not only me
But everyone around me
I'm afraid»

    Une autre journée qui s’annonçait tout aussi palpitante que les autres. Haha, ouais, palpitantes… Non, en fait, ce serait probablement une autre de ces journées ou Anastasia resterait enfermée chez elle à se morfondre dans son chagrin, à se remémorer son enfance, se demander pourquoi elle n’est pas restée avec son frère. Toutes ces questions, elle se les posait fréquemment. Mais bon, elle devait cesser de vivre dans le passer et continuer d’avancer. Elle décida finalement de sortir de chez elle, histoire de se changer un peu les idées et se trouver quelque chose à faire. Oui parce que quand on vit seul, qu’on ne parle jamais à personne, ou du moins, presque, la vie devient rapidement ennuyante. Bref, Anastasia se leva du sofa sur lequel elle était assise puis se dirigea vers sa chambre, histoire de prendre une veste et ne pas attraper froid lorsqu’elle sortirait dehors. Elle la mis sur son dos puis se dirigea vers la porte, attrapant son manteau au passage puis sorti de son petit appartement avant de verrouiller la porte à clé. Elle enfila son manteau puis marcha, d’un pas nonchalant jusqu’au premier endroit qu’elle vit et qui lui semblait être un endroit parfait pour quelqu’un dans son genre. La bibliothèque. L’idéal quand on ne veut pas avoir à se taper une discussion interminable et inintéressante.

    Elle poussa les lourdes portes vitrées puis entra dans l’édifice, ce sanctuaire de paix. Elle se promena, arpentant les rangées, regardant les titres des livres, tentant d’en trouver un qui pourrait l’intéresser un minimum. Elle marcha comme ça, tel un fantôme, pendant plusieurs minutes avant de tomber sur un ouvrage qui lui semblait être intéressant. Sur la couverture on pouvait y lire Roméo & Juliette par William Shakespeare. Elle qui avait toujours adoré le théâtre, elle opta pour ce livre. Les histoires à l’eau de rose, comme celles qui semblent impossibles, l’avaient toujours attiré lorsque posées sur papier. Elle prit donc le livre et se dirigea vers une des nombreuses tables mises à la disposition des lecteurs. Elle s’assied sur l’une des chaises en bois, ouvrit le livre à la première page et commença à en faire la lecture.

    Elle fut rapidement emportée dans cet univers parallèle, ce qui lui arrivait toujours lorsqu’elle était suffisamment captivée par un bouquin. C’était comme si elle était transportée dans cet autre monde, celui qui lui est décrit. Elle se retrouva donc début des années 1590 à Vérone, Italie. Elle fut toutefois déconcentrée quand un jeune homme vint lui adresser la parole. Elle leva à peine les yeux puis, reconnaissant celui qui venait de la déranger. Quelque peu gênée par sa présence elle se décida à le regarder, vraiment cette fois avant de prendre parole à son tour.


      ___« Eum… non, je ne sais pas qui vous êtes. Je ne vous ai jamais vu. », Finit par balbutier la jeune russe, incertaine que son mensonge soit accepté, ou plutôt passe inaperçu aux yeux du jeune homme.


    Bien évidemment, elle mentait. Elle savait très bien qui il était. Elle ne se souvenait plus des circonstances dans lesquelles elle l’avait rencontré, mais elle se souvient très clairement de la façon dont elle est partie. Elle avait passé la nuit à ses côtés, puis au petit matin, avait laissé une note, n’ayant écrit que son nom, puis avait déserté. Elle avait eu si peur de ce qui avait pu se passer au courrant de la nuit, elle qui avait bu une importante quantité d’alcool la soirée précédente, elle n’avait plus toute sa tête.

    Elle avait tenté de jeter ce souvenir aux oubliettes, elle avait presque réussi, du moins, jusqu’à ce que le jeune homme, dont elle ne connaissait strictement rien, revienne dans le décor. Elle était tendue, stressée. La proximité des hommes lui faisait toujours aussi peur, mais elle se détendait, elle était dans un lieu public, rien ne pouvait lui arriver. Voilà la pensée magique, du moins pour Anastasia. C’est pourquoi elle s’efforçait, lorsqu’elle était seule, de se retrouver dans des lieux pas mal fréquentés par le reste de la population. Cela lui offrait un certain réconfort, une certaine aisance.
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